Par le top à sequins repéré pour moi dans une vitrine par une amie, penser aux robes Paco Rabanne portées par Audrey Hepburn et Françoise Hardy, et à la chanson de cette dernière qu’Anna m’avait envoyée.
(re)mise en ligne de la galerie de portraits d’E. (2020 semble si loin !)
Je continue à remettre d’aplomb mes anciennes pages selon le nouveau thème de mon site, à faire le tri des images et republier. Je ne sais pas encore ce qui est voué à rester.
Travail en cours sur une série de 10 images, tirages argentiques de petites dimensions. Ce sont mes « Bonnardes », nées de la visite d’une exposition fin 2021 et d’une manière d’être au monde que j’expérimentais pour la première fois de ma vie à ce moment là.
Alors que je m’étais extraite du flux d’images des réseaux sociaux car je sentais mon attention sur-sollicitée, j’avais apprécié au cours de cette visite de devoir faire un effort pour découvrir les images présentées, des tirages contacts mesurant quelques centimètres seulement. Des reproductions en grand format tapissaient les murs de la salle d’exposition, mais pour découvrir tous les clichés du peintre, il était nécessaire d’avoir une démarche active, se rapprocher et se concentrer.
Pourvu qu’elles agonisent sur l’imitation parquet quand la dentelle tire entre les poils jusqu’à l’inconfort tu pourrais dire merci lorsque j’inonde la pièce puisqu’il ne sera presque rien dit de cet après-midi je feins quelque torride pour moi-même bien sale est ton absence.
Travail de tirage hier et aujourd’hui pour la série « désir replié ». Ensuite ? J’aimerais faire une pause dans ma pratique de l’argentique, revenir à d’autres modes d’expression.
Comment les cactus relient dans mon esprit la photographie au cinéma et à la littérature, Grenoble à Marseille et l’Italie, celles et ceux à qui je pense quand j’en croise un sur mon chemin.