Catégorie : photographie

  • (Ici) Lieu-ressource

    [ARCHIVE] Le parc de la Tête d’or à Lyon


    S’y promener, y manger une pâtisserie achetée sur le chemin, avant de rejoindre le Musée d’art contemporain tout proche.

    #lieu-ressource

  • [ARCHIVE]

    [ARCHIVE] extraite de la galerie 6

    Profiter quelques jours encore du quotidien à deux et de la vue.

  • 14.10.24

    Octobre rose, octobre gris : regarder le corps autrement à présent.

    [ARCHIVE] extraite de la galerie Chambre à part (2020-2023)

  • (Ici) La Biennale de Lyon

    [ARCHIVE] extraite de la galerie 3


    Souvenir de ma première Biennale de Lyon, envie pour les vacances d’octobre…

  • (Ici) 32. Exercice – correspondance

    Et si nous allongions la durée de notre correspondance entre deux trains ?
    Que pourrions-nous faire – de gestes ou mouvements de pensée – pour que le temps perdu nous paraisse gagné, se transforme en faille ludo-temporelle, en aubaine ?

    Valence ville, butin d’1h46 : un *motif (serpent de bitume), une *carte postale chaton, un déjeuner au parc (*lieu-ressource), 3 tomates et un tube de mayonnaise pour le sdf voulant améliorer sa salade composée.

    *exercice *train *motif *carte postale *lieu-ressource

  • (Ici) 8 août 2024

    Belvédère de Monteynard
  • (Ici)

    Les grands bleus de Miró au musée de Grenoble
  • (Ici) 27. salle 5*


    Par une journée de chaleur étouffante, je me rends à vélo dans un de mes deux cinémas préférés de Grenoble, pour la séance du soir. Je suis si peu vêtue qu’il me semble être nue, pourtant dans cette toute petite salle de cinéma l’indécence me paraît venir de ces pieds nus posés sur les fauteuils. J’envie quelque peu ce laisser aller frôlant l’impolitesse dont je ne suis pas familière, et je sais déjà que de ce sentiment naît un geste que je reproduirai pour revenir dans cette salle, cette moiteur, dans l’esprit de ce film.

  • (Vu) Napoli, Anders Petersen

    La très belle édition à deux cahiers, vue parmi la sélection du prix du livre d’auteur des Rencontres de la photographie 2024 à Arles.

  • (Déjà vu) août 2016

    08 2016

    pour déja vu (2023 – )

    Ce portrait de notre premier été à habiter entre les montagnes, que j’avais jugé bon de recadrer pour des raisons esthétiques, je lui redonne son cadrage original : je ne veux pas tant me souvenir que nous vapotions que garder une trace du jaune* des murs de ce balcon.

    * ce jaune que j’ai immédiatement et longtemps détesté, jusqu’à ce que je m’en accommode, allant jusqu’à choisir des chaises rouges et me ravir d’avoir déniché une nappe bariolée de jaune, de rouge, de couleurs criant bienvenue à l’été quand ma disposition habituelle est de chuchoter que je préfère avoir trop froid que trop chaud.