De nouvelles cartes postales pour : Chaton, hommage discret au long cours (dans : Promener sa peine)
Toute contribution pour agrandir cette collection est la bienvenue ! (clic)
De nouvelles cartes postales pour : Chaton, hommage discret au long cours (dans : Promener sa peine)
Toute contribution pour agrandir cette collection est la bienvenue ! (clic)
J’attends encore de recevoir des cartes postales de villes, de régions, avec des chats.
En dehors de ma famille, personne d’autre que toi n’aurait osé, sans mon invitation, faire ainsi affront à mes goûts, manquer d’élégance dans la correspondance.
Tu m’appelais chat, chaton, et je te laissais faire ; c’était une façon comme nombre d’autres de se rappeler régulièrement nous nous autorisions ce que les convenances ne permettaient pas. Nous avions construit une relation qui n’appartenait qu’à nous, à côté de l’attendu social, en dehors même de ce que chacune de nous désirait, aimait.
Cela, ce mouvement constant vers ce qui nous dérange, ce lien dans l’inconfort et l’indéterminé, c’était si beau que je pouvais supporter, apprécier même, la présence d’une carte kitsch sur l’étagère au dessus de mon bureau.
(…)
Pour cet hommage dans la durée, commencer une collection de cartes postales de villes ou de régions, comportant des chats.
Inviter chacun.e à y contribuer, serait-ce tenter d’apaiser le manque, ou l’entretenir ? Pour moi, c’est un hommage aux liens qui se nouent hors des attentes.
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Pour Chaton, hommage au long cours (Promener sa peine)
A retrouver dans : Promener sa peine
La collection s’agrandit pour « Promener sa peine », avec des chats grenoblois. On imaginerait que ce serait les premières à rejoindre celles reçues (les cartes aux chats qu’Anna m’envoyait de ses vacances en amoureuses ; parties de la ville où elle habitait celles-ci étaient de meilleur goût mais commençaient tout de même par cette adresse « chaton », quand ce n’était pas « Laé ») pourtant elles auront été, pour l’instant, les plus difficiles à trouver.
Au souvenir de l’homme qui les vendait et des mauvaises blagues qu’il m’offrait sans quitter sa conversation téléphonique, j’essaie de substituer celui d’une jeune femme au charme fou, qui portait un chapeau à l’intérieur de la boutique de thé qu’elle tenait et dans laquelle (la boutique, pas la jeune femme) j’étais entrée quelques minutes avant de trouver ces cartes que je ne cherchais plus. Avec son look de femme prête à monter sur scène, tu l’aurais trouvée belle.
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Si vous souhaitez m’aider à agrandir cette collection, j’aurais plaisir à partager mon adresse postale pour recevoir votre carte, avec ou sans petit mot à mon attention.
Avec la publication de la page des hommages discrets de l’été 2021, la page du projet « promener sa peine » est à jour, et la reconstruction de mon site achevée !
Bonne exploration à qui s’aventurerait par ici…
Finalisé la galerie de la série « les heures sauves » et ajouté l’hommage discret de février 2022, un photomaton de St Valentin.
Commencer une collection de cartes postales. (nouvelle page)
Garder pour plus tard le son des sachets à cartes postales — bruit et toucher semblables aux emballages de viennoiseries, pâtisseries, bonbons – son des trésors et des gourmandises, son qui protège, son qui cache, enveloppe de ce qui risque de se perdre, des petits précieux.
Mis en ligne la page des signes distinctifs dans promener sa peine. Il s’agit de l’hommage discret de mars 2022 et il y est question de grains de beauté.
Amélioré la navigation d’une partie des galeries archivées.
Pour : promener sa peine (2021 – )
Par le top à sequins repéré pour moi dans une vitrine par une amie, penser aux robes Paco Rabanne portées par Audrey Hepburn et Françoise Hardy, et à la chanson de cette dernière qu’Anna m’avait envoyée.
(Paroles : Sur quel volcan ? Françoise Hardy)