Brouillons, journal

(Chez Jérôme Orsoni) trente novembre deux mille vingt-trois

« (…) Quand on commence à voir la réalité à travers le prisme de la littérature, voilà sans doute quand on sait, je crois, que l’on est obsédé. Je ne crois pas toutefois que cela ait quoi que ce soit de maladif, non, c’est une relation au monde, la littérature, et pas seulement des signes couchés par écrit, pas un support de communication, pas un bien de consommation, pas un produit, pas une marchandise, pas un passe-temps, pas un divertissement, ce n’est pas une industrie culturelle, la littérature, ce n’est pas de la culture du tout. Quand on écrit, quand on lit, le monde change. Plus rien n’est comme avant. Du moins, plus rien ne devrait l’être. (…) »

trente novembre deux mille vingt-trois

Et cette courte histoire à découvrir : Le mystère de la chambre interdite.

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