La collection s’agrandit pour « Promener sa peine », avec des chats grenoblois. On imaginerait que ce serait les premières à rejoindre celles reçues (les cartes aux chats qu’Anna m’envoyait de ses vacances en amoureuses ; parties de la ville où elle habitait celles-ci étaient de meilleur goût mais commençaient tout de même par cette adresse « chaton », quand ce n’était pas « Laé ») pourtant elles auront été, pour l’instant, les plus difficiles à trouver.
Au souvenir de l’homme qui les vendait et des mauvaises blagues qu’il m’offrait sans quitter sa conversation téléphonique, j’essaie de substituer celui d’une jeune femme au charme fou, qui portait un chapeau à l’intérieur de la boutique de thé qu’elle tenait et dans laquelle (la boutique, pas la jeune femme) j’étais entrée quelques minutes avant de trouver ces cartes que je ne cherchais plus. Avec son look de femme prête à monter sur scène, tu l’aurais trouvée belle.
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Si vous souhaitez m’aider à agrandir cette collection, j’aurais plaisir à partager mon adresse postale pour recevoir votre carte, avec ou sans petit mot à mon attention.