Auteur/autrice : Laetitia Dë

  • (Très heureuse de la) mise en ligne de la page Désir replié (2023)

    (Merci à Arnaud Perrot pour son travail de photographie des oeuvres.)

  • Extrait de la galerie « Portraits E. »

    (re)mise en ligne de la galerie de portraits d’E.
    (2020 semble si loin !)

    Je continue à remettre d’aplomb mes anciennes pages selon le nouveau thème de mon site, à faire le tri des images et republier.
    Je ne sais pas encore ce qui est voué à rester.

  • pour (ARCHIVE)Désir replié (2023)

    Travail en cours sur une série de 10 images, tirages argentiques de petites dimensions. Ce sont mes « Bonnardes », nées de la visite d’une exposition fin 2021 et d’une manière d’être au monde que j’expérimentais pour la première fois de ma vie à ce moment là.

    Alors que je m’étais extraite du flux d’images des réseaux sociaux car je sentais mon attention sur-sollicitée, j’avais apprécié au cours de cette visite de devoir faire un effort pour découvrir les images présentées, des tirages contacts mesurant quelques centimètres seulement. Des reproductions en grand format tapissaient les murs de la salle d’exposition, mais pour découvrir tous les clichés du peintre, il était nécessaire d’avoir une démarche active, se rapprocher et se concentrer.

    (capture d’écran de la visite virtuelle de l’exposition « Bonnard : Les couleurs de la lumière » au Musée de Grenoble – Explor visit)

  • C’est un ancien téléphone que l’on met en charge puis rallume, en vue de le prêter à un ami qui s’est fait voler le sien. Le déjeuner est bientôt prêt, il est prévu de fêter une date la veille, de sortir des bougies comme cela n’est jamais fait. Sans trop y prêter attention nous sommes en 2020, les cheveux roux ou les cheveux noirs, curiosité amusée puis un peu plus grave, on veut revoir le visage de l’amie qui alors est encore vivante, sa tête couronnée au dessus du journal d’appels et de ce que l’on y découvre trois ans plus tard : un appel manqué qui nous accuse, nous coupe le souffle, nous pulvérise et une douleur qui n’a plus rien de flou, d’indéfini. (L’intuition de la peine était bonne.)

    Cet après-midi, impossible de faire autre chose que de remettre en ligne la page « Promener sa peine » (2021 – ), à étoffer bientôt.

  • Test pour « désir replié »

    Test pour désir replié, vendredi 10

    Presque, bientôt. (Finaliser)

  • Remis en ligne la galerie 3.

  • (ARCHIVE 2019)

    Extrait de la galerie (fantôme) 6.

    Pourvu qu’elles agonisent sur l’imitation parquet
    quand la dentelle tire entre les poils jusqu’à l’inconfort
    tu pourrais dire merci lorsque j’inonde la pièce
    puisqu’il ne sera presque rien dit de cet après-midi
    je feins quelque torride pour moi-même
    bien sale est ton absence.

  • Travail de tirage hier et aujourd’hui pour la série « désir replié ». Ensuite ? J’aimerais faire une pause dans ma pratique de l’argentique, revenir à d’autres modes d’expression.

  • Les cactus (itinéraire de celle qui reste)

    Comment les cactus relient dans mon esprit la photographie au cinéma et à la littérature, Grenoble à Marseille et l’Italie, celles et ceux à qui je pense quand j’en croise un sur mon chemin.

  • « Élargir l’espace intime plutôt que de s’en échapper »

    par Marcoz Uzal dans les Cahiers du cinéma à propos de « Voyages en Italie » de Sophie Letourneur