Catégorie : argentique

  • Tirages argentiques 10x15cm – Trois parmi quatre essais de solarisation (ou effet Sabatier) sur un nu au savon.
  • L’ampoule de l’agrandisseur a rendu l’âme pendant ma dernière séance de tirage, me laissant toutefois le temps de découvrir cette image issue d’une de mes deux dernières pellicules (Ilford FP4 125, appareil Reto UWS). Elle se prête, je trouve, particulièrement bien au jeu des marges bien moins propres que celles auxquelles m’a habitué mon formateur au tirage. J’aime le cliché, le rendu du tirage autant que le souvenir d’émouvantes promenades estivales auquel elle est attachée. Le tirage est un peu plus petit qu’un 10x15cm sur un papier d’environ 13×18, un format que j’apprécie et que je risque d’utiliser de plus en plus lorsque je travaillerai sur mes images n’intégrant pas la série collaborative « chambres à part ». Je retiendrai les leçons : ne pas se contenter de ce qu’on m’a appris et toujours avoir une ampoule d’avance.

  • Arles (été 2021) – tirage 10x15cm
  • Le chemin des habitudes

  • Développé le week-end dernier deux pellicules noir et blanc, shootées au Reto UWS, ce tout petit appareil dit point-and-shoot acheté pour sa discrétion et le fait qu’il puisse, contrairement à mon appareil principal, toujours trouver place dans mon sac. Lundi j’en réalisais les planches-contacts mais surtout, je m’essayais pour la première fois à tirer sur un format plus grand que le 13×18, un 20×30 à peu près. L’un de ces grands tirages, agrandi à partir d’un négatif couleur, a nécessité 12 minutes d’exposition. Si l’on y ajoute les temps de tests, et que l’on multiplie par trois tirages, cela fait beaucoup de temps à attendre dans la lumière rouge : qu’en faire sinon écrire le texte dont l’image est l’illustration ?

  • [figje] pour hommage discret de mai.

  • Nouvelle paire pour « Chambres à part« 
  • Chambres séparées

    Tirage test-accident pour la série « Chambres à part »

    Attendre des rencontres qu’elles soient aussi belles et puissantes (de bouleversement, d’enrichissement) que la nôtre, n’est-ce pas aussi vain que de chercher à reproduire des accidents ?

    Nous nous sommes connus des années avant de nous rencontrer. Dans son répertoire, je suis passée de « belle inconnue » à « ma belle ». Si nous nous sépariions, encore amoureux, amants, amis ou en désaccord, comment m’appellerait-il et m’appellerait-il encore ?