dernières Entrées dans les brouillons (journal) :
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(Chez Jérôme Orsoni) trente novembre deux mille vingt-trois
« (…) Quand on commence à voir la réalité à travers le prisme de la littérature, voilà sans doute quand on sait, je crois, que l’on est obsédé. Je ne crois pas toutefois que cela ait quoi que ce soit de maladif, non, c’est une relation au monde, la littérature, et pas seulement des signes couchés…
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Extrait de « quand la beauté nous sauve » de Charles Pépin.
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