Catégorie : liens

  • (Liens) Chez Camille : journaux brésiliens – mars 2025

    je cherche l’équivalent de mormaço en français. mars s’ouvre sur le carnaval, dans un temps chaud, mais couvert, humide et lourd. un gros ciel de nuages pèse sur nos épaules et y imprime des brûlures à découvrir le jour d’après, comme l’été sur la plage en bretagne, quand j’enterrais mes pieds dans le sable et […]

    journaux brésiliens – mars 2025
  • (Ici + liens)

    Ne peuvent véritablement se rencontrer que deux personnes en mouvement.

  • (Liens + Ici)

    Le premier verre cassé, la première paire de boucles d’oreilles achetée, le premier passage d’un ouvrage dont on me fait la lecture à voix haute (depuis que j’habite ici).

  • (Lien) ici. exercices avec Noam

    Extraits de « Activating cities » et sa version traduite/augmentée « Marcheur-cueilleur » de Noam Assayag. (Voir : Ressources)

  • (Lien) Twin Peaks n’est pas Twin Peaks

    David Lynch vient de mourir à l’âge de 78 ans, en hommage au mythique réalisateur, Diacritik republie l’article de Jean-Philippe Cazier consacré au retour de Twin Peaks en 2017.

    Twin Peaks n’est pas Twin Peaks
  • (Lien) André Carpentier

    « Il y a ce moment du flâneur que j’appelle la rencontre muette. Dans un café, dans un parc, dans une rue, se trouver à proximité d’individus, à portée de regard, mais sans la pleine médiation du regard, à portée de parole, mais sans l’entremise de la parole, sans le contact direct. En présence, mais sans l’adresse à l’autre. En fait, dans la seule dualité de la présence nue. Une rencontre presque à sens unique, par les sens et par l’intuition.

    C’est dans cet esprit qu’on repère le mieux ces individus en échappée, qui, seuls ou en grappe, tendent à produire une vie humaine singulière au sein de la norme et de la vie quotidienne, qui est aussi une vie partagée. Leur paradoxe est le détournement dans l’attachement à la règle et au quotidien. Ces marginaux, ces flâneurs à temps plein dont je parle, donnent en sourdine le spectacle d’un usage de soi, dans l’ordinaire des jours, qui leur permet de créer une cohérence pour soi tout en se maintenant dans le registre des règles communes et dans le courant de la quotidienneté. Ils résistent aux usages répétitifs, à l’émiettement du quotidien, au trop peu de sens de l’agir ordinaire, par des inventions, des astuces, des ruses, des détournements, des insoumissions et autres conduites tactiques « articulées sur des “détails” du quotidien » (de Certeau, 1980, p. 14). Ces personnages donnent l’exemple d’un agir qui permet de se réapproprier l’espace organisé, ainsi que ses usages. Ils s’inventent un devenir en œuvrant à leur adaptation sans nuire à quiconque et en n’étant pareil à personne, bien qu’adhérant au contingent social. J’exagère peut-être, mais il me semble distinguer, dans l’exhibition de ce démarquage mesuré, d’infimes et négligeables traces, mais des traces quand même, d’une procédure de régénération de la vie quotidienne et des normes du vivre ensemble. »

    Extrait de : « Être auprès des choses. L’écrivain flâneur tel qu’engagé dans la quotidienneté » par André Carpentier, à lire sur le site de l’Observatoire de l’Imaginaire Contemporain.

  • (Liens) Remarquer Marseille (Nina Rendulić)

  • Henry Miller, rencontre respiratoire, par Bernard Plossu, photographe, et Michèle Cohen, galeriste

    Joan Baez, Les années Hip © Bernard Plossu « J’avais déjà vu Miller une fois à Paris, près du parc Montsouris, élégant comme tout, en costard trois pièces velours. Je l’avais reconnu tout de suite. C’est un quartier où il habitait avec Anaïs Nin, plus jeune, je crois. » (Bernard Plossu) Bien entendu, Georges Bataille, Maurice Blanchot […]

    Henry Miller, rencontre respiratoire, par Bernard Plossu, photographe, et Michèle Cohen, galeriste
  • Décembre 2024

    Rester chez soi en bonne compagnie des Mathieu.